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| Essais en pâte durcissant sans cuisson | ||
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Lanterne japonaise en pâte Plastiroc, peinte avec de la peinture pour maquette, blanc et gris foncé. Cette pâte est difficile à utiliser pour des formes creuses, car elle devient friable assez rapidement, même mouillée. J'ai modelé la partie creuse autour d'un morceau de bristol mince pour obtenir la forme souhaitée. | |
| Fontaine en Plastiroc, noirci au crayon noir et au crayon couleur, puis passé au fondur. Nécessaire de vernir pour le contact avec la résine, sinon il y a réaction entre les deux matières. Se sculpte relativement facilement. |  |
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Une autre lanterne japonaise en pâte d'argile blanche, plus facile et plus agréable à travailler que le plastiroc. La texture est plus fine. Aspect vieille pierre au crayon noir et mousse au crayon vert. Passé au fondur qui lui donne son aspect verni. 5 morceaux collés les uns aux autres avec de la colle à bois. |
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Poterie en pâte d'argile couleur rouille. Cette pâte semble très bien convenir pour imiter toutes les poteries et récipients en terre cuite |
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Poupée en pâte d'argile ou plastiroc, je ne sais plus, mais probablement plutôt en argile blanche. Pas très réussie, mais je me suis trop précipitée pour la peindre avant de l'avoir suffisament modelée et sculptée. Fondur et peintures acryliques. Elle aurait pu être mieux. |
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Dallage ancien : dalles carrées de 1,5x1,5cm en plastiroc. Résultats assez satisfaisants, mais il est utile de les vernir une fois sèches (le séchage est très long : plusieurs jours). Attention à bien égaliser l'épaisseur des dalles. La difficulté est de les détacher sans les déformer,même sur une plaque de verre. La prochaine fois, je pourrais essayer de passer de l'huile ou de la vaseline avant d'étaler la pâte. Pour de grandes surfaces, je préfère le carton, qui, une fois teinté et verni, donne des résultats d'un réalisme surprenant et a l'avantage d'être beaucoup plus léger.
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pas de photo | |
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